Le Plan Local d’Urbanisme

Plan de Zonage

  • Totalité de la commune

    pdf | 10,51 Mo | 28 Novembre 2007

  • Partie Agglomérée

    pdf | 7,24 Mo | 28 Novembre 2007

Fichiers à votre disposition

  • 1. Règlement du PLU

    pdf | 1,42 Mo | 28 Novembre 2007

  • 2. Projet d’Aménagement et de Développement Durable

    pdf | 366,74 Ko | 28 Novembre 2007

  • 3. Orientations d’aménagement

    pdf | 1,03 Mo | 28 Novembre 2007

  • 4. Modification simplifiée du PLU – Note de présentation

    pdf | 637,96 Ko | 28 Novembre 2007

La déclaration préalable

Les travaux peuvent avoir lieu sur une construction existante (garage…) ou créer une nouvelle construction isolée de la maison.

Une déclaration préalable de travaux est obligatoire notamment dans les cas suivants :

  • Construction nouvelle (garage, dépendance…) ou travaux sur une construction existante ayant pour résultat la création d’une surface de plancher ou d’une emprise au sol comprise entre 5 m² et 20 m². Pour les travaux sur une construction existante, ce seuil est porté à 40 m² si la construction est située dans une zone urbaine couverte par un plan local d’urbanisme (PLU) ou un plan d’occupation des sols,
  • Construction d’un mur d’une hauteur au-dessus du sol supérieure ou égale à 2 m,
  • Construction d’une piscine dont le bassin a une superficie inférieure ou égale à 100 m² non couverte ou dont la couverture (fixe ou mobile) a une hauteur au-dessus du sol inférieure à 1,80 m,
  • Travaux modifiant l’aspect initial extérieur d’une construction (par exemple, remplacement d’une fenêtre ou porte par un autre modèle, percement d’une nouvelle fenêtre, choix d’une nouvelle couleur de peinture pour la façade),
  • Travaux de ravalement s’ils se déroulent dans un espace faisant l’objet d’une protection particulière (par exemple, abord d’un monument historique),
  • Changement de destination d’un local (par exemple, transformation d’un local commercial en local d’habitation) sans modification des structures porteuses ou de la façade du bâtiment,
  • Réalisation d’une division foncière notamment pour en détacher un ou plusieurs lots.
  • Réalisation d’une cloture.

Information : les travaux ayant pour effet la création d’une surface d’au moins 20 m² et au plus 40 m² nécessitent un permis de construire si, après réalisation, la surface ou l’emprise totale de la construction dépasse 150 m².

Le permis de construire

Travaux créant une nouvelle construction

Les constructions nouvelles sont celles indépendantes de tout bâtiment existant.
Elles doivent être précédées de la délivrance d’un permis de construire, à l’exception :

  • des constructions dispensées de toute formalité comme les piscines de moins de 10 m² ou les abris de jardin de moins de 5 m²
  • et de celles qui doivent faire l’objet d’une déclaration préalable.

Travaux sur une construction existante

Les travaux sur une construction existante concernent par exemple l’agrandissement d’une maison.
Dans tous les cas, un permis de construire est exigé si les travaux ajoutent une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 20 m². Lorsque la construction est située en zone urbaine d’une commune couverte par un PLU, un permis est nécessaire si :

  • les travaux ajoutent une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 40 m²
  • Ou s’ils ajoutent entre 20 et 40 m² de surface de plancher ou d’emprise au sol et ont pour effet de porter la surface totale de la construction au-delà de 150 m².

Autres formalités

Si l’article 3 de la loi du 3 Janvier 1977, pose l’obligation de faire appel à un architecte pour établir le projet architectural faisant l’objet d’une demande de permis de construire, le décret n°2016-1738 du 14 décembre 2016 vient restreindre le seuil d’exemption pour les constructions à usage autre qu’agricole, le seuil passant de 170 m2 (surface de plancher et emprise au sol) à 150 m2 (surface de plancher uniquement).

Fiche pratique

Durée d'assurance retraite du fonctionnaire

Vérifié le 27/02/2020 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Pour bénéficier d'une retraite de la fonction publique, le fonctionnaire doit justifier d'une durée minimale de services effectifs. Le montant de sa pension dépend de sa durée d'assurance auprès du SRE ou de laCNRACL selon qu'il est fonctionnaire d’État, territorial ou hospitalier. La durée d'assurance comprend les périodes de travail et de cotisation. Elle comprend aussi certaines périodes d'interruption ou de réduction d'activité. Les années d'études peuvent être inclues en cas de rachat.

Pour bénéficier d’une retraite de la fonction publique, le fonctionnaire doit justifier d'au moins 2 ans de services effectifs.

Les services effectifs pris en compte pour le calcul de la durée d'assurance du fonctionnaire sont les suivants :

  • Services accomplis en tant que fonctionnaire (titulaire et stagiaire)
  • Services accomplis en tant que magistrat de l'ordre judiciaire
  • Services accomplis en tant qu'ouvrier de l'État avant l'intégration dans la fonction publique
  • Services accomplis en tant qu'agent contractuel ayant fait l'objet d'une validation des services
  • Services accomplis en tant que fonctionnaire des collectivités d'outre-mer et de Nouvelle-Calédonie
  • Services militaires.

Les périodes accomplies à temps partiel sont prises en compte intégralement, quelle que soit la durée de travail.

Par exemple, une année à 50 % compte pour un an (et non pas pour 6 mois).

Les services d'un fonctionnaire territorial occupant un emploi à temps non complet sont prises en compte si sa durée hebdomadaire de travail est d'au moins 28 heures. Sinon, ces services sont pris en compte dans le régime général d'Assurance vieillesse de la Sécurité sociale.

Ces périodes accomplies sur un emploi à temps non complet sont prises en compte intégralement, quelle que soit la durée hebdomadaire de travail entre 28 et 35 heures. Une année à temps non complet compte pour un an.

Certaines périodes d'interruption d'activité pour s'occuper d'un enfant né ou adopté à partir de 2004 sont prises en compte dans la durée d'assurance.

Ces périodes sont les suivantes : congé parental, congé de présence parentale et disponibilité de droit pour élever un enfant de moins de 8 ans.

Ces périodes sont prises en compte dans les conditions suivantes :

Durée maximale prise en compte pour la retraite en fonction du cas d'interruption d'activité

Cas d'interruption d'activité

Durée maximale non travaillée pouvant être prise en compte

Congé parental jusqu'aux 3 ans de l'enfant (ou 3 ans à partir de l'adoption d'un enfant de moins de 3 ans)

12 trimestres (3 ans)

Congé parental pour un enfant adopté après l’âge de 3 ans

4 trimestres (1 an)

Congé de présence parentale

6 trimestres (1 an 6 mois)

Disponibilité pour élever un enfant de moins de 8 ans

Naissance ou adoption d'un enfant unique : 12 trimestres (3 ans)

Naissance ou adoption simultanée de 2 enfants : 24 trimestres (6 ans) jusqu'à leurs 8 ans

Naissance ou adoption simultanée de 3 enfants ou plus : 32 trimestres (8 ans) jusqu'à leurs 8 ans

La femme fonctionnaire qui a accouché après 2003 et après son recrutement dans la fonction publique bénéficie d'une majoration de sa durée d'assurance de 2 trimestres par enfant.

Le fonctionnaire qui élève à son domicile un enfant de moins de 20 ans atteint d'une invalidité égale ou supérieure à 80 % bénéficie aussi d'une majoration de sa durée d'assurance. Cette majoration est d'un trimestre par période d'éducation de 30 mois, dans la limite de 4 trimestres.

Les années d'études rachetées pour la durée d’assurance sont également prises en compte.

Pour en savoir plus

Haut de page